« Une fois encore, la ministre de l’Environnement, Ségolène Royal, vient de refuser la proposition de dérogation, pourtant très argumentée sur le plan juridique, que la Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) lui avait transmise dès le 22 décembre 2016 et qui contenait des solutions innovantes en matière de gestion des quotas d’oies, afin de permettre leur chasse contrôlée en février.
Pourtant dans un courrier reçu par le président de la FNC le 19 janvier, (et curieusement daté du 6 janvier) la ministre reconnaît que l’oie cendrée est très abondante et pose de nombreux problèmes de dégâts dans plusieurs pays, au point d’en appeler à la mise en place d’un plan de gestion international. Plan qui sera sans doute préférable aux destructions massives opérées aujourd’hui, notamment en Hollande, mais qui ne résoudrait en rien, et quoi qu’on en dise, le problème des périodes de chasse des oies en France… »